LE PETIT PRINCE
Nous avons malheureusement dû retirer ce texte suite à un e-mail que nous adressent les Editions Gallimard et que nous reproduisons ci-après.
Nous regrettons sincèrement cette mise en demeure
de l'éditeur français, d'autant plus que ce texte est déjà
publié intégralement sur Internet dans plusieurs sites.
Par exemple, à l'adresse suivante (mais avec quelques fautes d'orthographe...):
http://web.ensem.u-nancy.fr/~ldecher/litt/pprince/petitprince.html
Nous regrettons que les Editions Gallimard n'aient pas compris le sens de notre page, qui est un hommage rendu à un écrivain que nous aimons et dont la pensée et l'oeuvre méritent d'être mieux connues qu'elles ne le sont.
Nous rappelons que cette page n'a aucun but lucratif et nous espérons que la maison Gallimard en tiendra compte pour nous permettre au moins de citer certains extraits des oeuvres d'Antoine de Saint-Exupéry, à titre illustratif.
Ce dont nous l'en remercions d'avance.
Editions GALLIMARD
5 rue Sébastien-Bottin
75007 PARIS
Paris, le 18 septembre 1997
Monsieur,
Vous faites apparaître sur votre site d'accueil Internet des extraits de l'oeuvre d'Antoine de Saint-Exupéry "Le Petit Prince" accompagnés des illustrations originales de l'auteur.
Nous vous rappelons qu'Antoine de Saint-Exupéry est un auteur publié par les Editions Gallimard et que son oeuvre est protégée par les dispositions du Code de la Propriété Intellectuelle.
Nous attirons votre attention sur l'interdiction qui en résulte de toute représentation, même partielle, de cette oeuvre dont les Editions Gallimard sont cessionnaires des droits et qu'elles sont seules habilitées à autoriser. En procédant à ce type de représentation et en permettant ainsi la reproduction d'une oeuvre protégée, vous vous rendez coupable d'un acte de contrefaçon, sanctionné pénalement.
C'est pourquoi nous vous demandons de faire cesser immédiatement cette représentation illicite qui vous expose à de sévères poursuites judiciaires que nous ne manquerons pas d'entreprendre à votre encontre, à défaut pour vous d'avoir fait le nécessaire et de nous l'avoir confirmé par écrit, sous huitaine.
Nous vous prions de considérer la présente comme valant mise en demeure.
Veuillez agréer, Monsieur, l'expression
de nos sentiments distingués.
LA Direction Juridique
Editions GALLIMARD